Bon, d'accord, les puristes hurleront avec raison qu'une
VRAIE flamme doit être imprimée par un service
postal dûment agréé, sinon c'est
l'anarchie : Tout le monde peut faire n'importe quoi et le
collectionneur de base, sérieux et méthodique,
gardien d'un savoir diffus, risque juste la crise cardiaque,
la rupture d'anévrisme et le zona...
simultanément ! (Pas glop, pas glop ! ).
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Alors nommons-les PSEUDO-FLAMMES, mais ne nous privons
pas d'en disséminer, pour rire, pour communiquer,
voire pour "secouer le cocotier", car le monde des "vraies
flammes postales" et aussi celui de la langue de bois,
où les villes sont toujours propres et accueillantes,
où l'innovation technique se veut forcément
synonyme de progrès humain, et où un avenir
radieux parait nous être garanti par des foires
commerciales, des inaugurations de monuments et autres
exploits techniques en tous genres...
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